Non catégorisé

Mercredi 4 janvier 3 04 /01 /Jan 09:37

Un soumis réellement dévoué dépassera bien des limites pour le plaisir de ses maîtres...  
Si la maxime est connue, peu de soumis arrivent véritablement à se fixer des objectifs quant à offrir plus de docilité à ceux-ci.
Et la chose est compréhensible vu le risque de certaines pratiques et les dommages que celles-ci peuvent occasionner sur la vie du soumis.
Comme dans bien dès choses de la vie, la confiance entre les parties est donc primordiale.

Mais revenons-en au titre du sujet du jour, l'humiliation extrême.  En effet, l'humiliation apporte avec les pratiques que sont l'urologie et la scatologie ses propres extrémités pas toujours faciles à dépasser pour un sujet soumis.

Il est également surprenant de constater que la culture semble jouer un rôle.  Ainsi, si les latins semblent voir la chose telle une véritable horreur en ce qui concerne la scatologie, les germaniques quant à eux semblent réellement apprécier la chose!

 

Sklavendinner.jpg

 

snapshot20111223134216 

 

dbjnbunm3whh

 

 

 

 

 

Par Die zofe.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 21 décembre 3 21 /12 /Déc 08:56

En plus d'être travesti, je suis soumis.
Décidément, quelle tare!

Quant tout celà a t'il commencé? 
Mais celà a toujours existé! En ce qui me concerne du moins...

Déjà vers les 17 ans, je rêvais d'être aux pieds de ces femmes dominatrices que je découvrais au fil des pages des revues dédiées aux annonces libertines.
A 18 ans, une fois ma voiture, et dès-lors ma liberté en main, sortir dans les lieux dédiés au SM devenait réalité.
Les premières rencontres avec des femmes célibataires dominantes, professionnelles ou non, virent vite le jour avant de faire place aux couples amateurs dominants recherchant un larbin afin de satisfaire les désirs les plus inavoués de Madame et Monsieur.
Le larbin céda vite sa place à la femelle soubrette à pénis, mes dominants ayant assez vite découvert mon goût prononcé pour la chose.
Simone, la bonne, était en train de naître réellement et n'allait pas tarder à réellement découvrir sa véritable nature de petite cochonne...

 

IMG_1184bisb.jpg

Par soumis travesti
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 3 novembre 4 03 /11 /Nov 00:00

La chance me donna un jour de rencontrer via le site sensation sm, un couple; Monsieur Azerty et Madame Sally.

D'âge mûr, ils possèdent tous deux une expérience non négligeable en la matière et sont d'une rare perversité subtile.

Notre premier rendez-vous eut lieu dans un cercle privé dédié au SM.

Le ton fut donné dès le départ; en tant qu'adepte du travestissement, celui-ci serait de mise dès le premier rendez-vous et ce dès les premiers instants.

J'obéis dès-lors à leurs ordres et me rendis complètement travesti au lieu de rendez-vous.  Ce qui impliquait de devoir effectuer "en tenue", un parcours en voiture de plus de 70 km à l'aller sans compter le retour.

La crainte m'envahit car au contraire de ce que je connus jusqu'alors, tout pouvait survenir, accident, crevaison, panne...  Je vous laisse imaginer la tête d'un éventuel dépanneur...

Arrivé sur le lieu de rencontre, un rond point fort fréquenté, quelques minutes passèrent et vint enfin l'instant où la voiture que Monsieur Azerty me décrivit fit son apparition.

Je sortis de mon véhicule afin d'aider mes futurs dominants à me reconnaître, m'offrant ainsi de la sorte au regard des autres passants par la même occasion.

La voiture s'arrêta à quelques mètres de la mienne et m'obligea ainsi à faire quelques pas afin de me présenter à ma future Maîtresse et Maître pour la soirée.

Les présentations faites, ils me proposairent de les suivre avec ma voiture jusqu'à l'adresse du jour.

Nous y arrivâmes vingt minutes de route plus tard. 

Le lieu et ses environs n'étant pas pourvus de nombreuses places de parking, il me fallut aller chercher un emplacement à quelques centaines de mètres de l'entrée; chose, vous n'en douterez pas qui pimenta de nouveau la soirée vu ma tenue et les quelques passants que je fûs amenée à croiser sur le même trottoir que celui emprunté par mes soins.

 

Une fois à l'intérieur, l'endroit était pour le moins déboussolant. 

Il s'agissait d'un réel donjon équipé comme très peu peuvent l'être.  Sur des murs peints en rouge se tenaient croix de Saint André, grand roue, palants et divers présentoirs bien fournis en équipement.

Le lieu reprenait également un cachot, un lit, une table de travail ainsi q'une chaise gynécologique.

 

Mes Maîtres mirent directement les choses au point.  Je fus traitée de chienne et reçus une gamelle comme seul moyen de me désaltérer avant que Maîtresse Sally ne me pose mon collier.

 

 

IMG 1184 

 

 

 

Par Die Zofe.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 8 octobre 6 08 /10 /Oct 00:00

Je venais d'avoir 18 ans et avais reçu de mon père, une petite voiture d'occasion pour fêter ceux-ci.

Le permis en poche et ce moyen de locomotion à ma disposition, la liberté s'ouvrait à moi.  L'adage, ma voiture, ma liberté n'étant pas faux...

 

Je décidai donc d'en profiter et commença par sortir dans un lieu branché de cette capitale qui est Bruxelles; le Moda Moda, bar fétichiste des années 90.

L'ambiance y était des plus folles et j'y ai passé de bons moments. 

Le lieu était simple; un zinc, des tables de salon d'un côté où vous pouviez prendre iun simple verre qu'une allée séparait d'un autre côté dédié à la restauration.

Le détail le plus marquant de l'endroit étant une grille donnant sur un petit espace qui s'offrait à vous dans le fond de l'établissemnt, une fois la porte d'entrée passée, sans oublier les toilettes qui franchement certains soirs, valaient le détour...

 

Un soir, une rencontre en cet endroit fit basculer mon devenir en la matière.

Un jeune homme avec qui je sympathisaisau bar, sortit de sa poche une petite revue titrée "Contact international".  Cette revue était ni plus ni moins, que la caverne d'Ali Baba pour qui recherchait une rencontre libertine sur la Belgique francophone.

Sans le deviner encore, j'ouvris par cette voie, une porte définitive sur la DS et le SM.

Par Die zofe.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 00:00

Quand je tente de me remémorer mes débuts, j'ai toujours du mal à en définir l'âge avec certitude.

Et plus le temps passe, plus je remonte vers mes jeunes années allant de plus en plus régulièrement chercher réponse à l'un ou l'autre de mes questionnements, dans ma plus tendre enfance.

j'en suis de plus en plus persuadé, tout remonte à cette période.  Les origines du mal, si mal il y a, étant plus profondes qu'il n'y paraît.

 

Enfant, j'aimais jouer comme tout jeune garçon de mon âge au cowboy ou à l'indien avec mes compagnons de jeu.

Cette période fût joyeuse et à vrai dire, malgré le divorce de mes parents, peu après ma naissance, j'eus une enfance heureuse baignée entre une scolarité catholique stricte mais juste et une vie à la maison teintée de l'affection d'une mère pour son fils unique.  Je semblais un garçon comme tout autre vivant cette période de sa vie, de la manière la plus naturelle qui soit.

La face A était telle; la face B était autre.

Vers 7 ou 8 ans, le petit curieux que j'étais, fouillait les tiroirs des commodes de la chambre de sa mère à la recherche de culottes en soie ou de bas en nylon afin d'en sentir la texture et de les essayer. Ou encore, en visite chez son père, il aimait en l'absence de tout intru à son petit jeu, aller fouiller le bac à sale linge et y extraire les collants noirs de belle-maman répondant au doux nom de betty, afin de poser ceux-ci sur son visage, en vue d'en renifler l'odeur particulière du corps de celle-ci...

 

Si le fétichisme des dessous a sans aucun doute préparé le terrain à mon devenir, la personnalité de ces deux femmes de ma vie à certainement bien entendu et également contribué en ce sens, à faire de moi ce que je suis aujourd'hui.

Ma mère est une femme cultivée et aimant les bonnes choses de la vie.  Quand bien même, si la pudeur a à ce sujet placé une quelque retenue entre elle et moi, je suppose que malgré ses airs de sainte nitouche, elle a dû avoir et a encore, j'ose espérer, une vie sexuelle bien remplie.  Car, si au dehors, elle préfèrait étant plus jeune, porter au quotidien des tenues sobres, le contenu de ses tiroirs semblait bien plus féminin et osé.  Porte jarretelles, bas de couleur et culottes colorées se cachant derrière des dessous dits plus communs.

Aussi, si son discours a toujours été contenu et poli, certains termes sortant de sa bouche sont parfois plus directs et crus, préférant ainsi utuliser le mot pute à celui de putain.

Faut-il se méfier dès-lors des faux semblants? Quid de la question...  Mais bon de là à traiter maman de salope...  reste une marge, tout de même!

Ma belle-mère était par ailleurs tout le contraire en apparence.  Provocante, grande aux cheveux noirs et au type hyspanique, appréciant un make-up chargéet portant de larges lunettes à grands verres style années soixante-dix, on l'aurait prise quand elle portait ses tailleurs strictes en cuir noir pour l'imitatrice parfaite de la divine Madam P, star du cinéma sado-masochiste allemand des années 80.

Dire qu'elle était sexy était donc un faible mot.  je me souviens encore avoir été sous le charme du bruit de ses talons aiguilles sur le pavement; quel délice!

Quant au tempérament de cette dernière, je peux être franc et vous confirmer qu'il était chaud étant un jour par hasard, sale gamin curieux que j'étais, tombé sur des photos la mettant en scène d'une manière plus qu'équivoque au regard des bien pensants!

Nue, couchée les jambes écartées sur un lit, elle offrait sans aucune pudeur sa chatte béante et humide à l'objectif d'un appareil photo utulisant encore à l'époque, des pellicules kodak chrome qui s'oubliraient dans le fond d'une vieux tiroir jusqu'au jour de ma découverte.

 

Que dire après celà?  Que je suis fétichiste et obsédé? C'est un fait...

 

 

 

Par Die zofe.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Profil

Recherche

Contact - C.G.U. - Signaler un abus